Des vies si proches

Être au plus proche de la faune sauvage conduit inévitablement à en tomber amoureux... En tomber amoureux conduit inévitablement à vouloir la protéger.

Cet ouvrage est pour vous si :

  • Vous aimez les mots qui touchent, les images qui enchantent. Ici ils se répondent à merveille. Ils finissent par s’accorder pour évoquer l’harmonie de la nature et transporter les lecteurs hors du temps.
  • Vous aimez vous promener dans la nature et vous êtes sensible à l’émotion que procure la moindre rencontre.
  • Vous savez qu’il existe mille et une créatures dans notre nature environnante, à la fois si proches et si lointaines. Mais happé·e·s par notre quotidien, nous avons perdu l’habitude de les voir, de les entendre, de les observer.

Le mot de l’éditrice

Tout dans ce projet est bienveillant et poétique : l’idée, l’écriture, les photos, la préface. Redonner leur place à ceux qui nous entourent et dont on a presque oublié qu’ils étaient nos voisins. Redevenir spectateur et mesurer la chance qui nous est offerte de pouvoir assister à de si beaux moments. Quand on sait, on respecte, on fait attention, on préserve, on se mobilise. Tous ces thèmes sont présents dans ce livre. Le travail de Sylvain Dutrieux, très précis, à la limite du perfectionisme, m’a touchée. Il fallait que je donne une chance à cet écrit de voir le jour et d’être lu par le plus grand nombre.

L’auteur

Sylvain Dutrieux vit dans l’Hérault. Chercheur en électronique, quand il quitte ses dossiers, il part se promener autour du Grand Pic St- Loup. Il peut rester des heures bravant les aléas de la météo, caché sous sa toile à épier la nature et capter quelques improbables moments magiques. Il anime depuis 2 ans la page Facebook La Gazette de la faune sauvage qui rassemble des milliers de followers. 

272 pages – 135 x 205 mm / Parution : 25 mai 2024

ISBN : 978–2494–830–059 / Prix public TTC : 23 €

 

L’ouvrage en pointillé

Sylvain Dutrieux a photographié les créatures sauvages qui peuplent les berges de nos rivières, qui rôdent aux lisères des forêts, qui fréquentent les champs aux heures désertes. Il a rencontré celles qui ne viennent qu’aux beaux jours, mais il a également rendu visite aux autres qui demeurent toute l’année cachées dans les branches ou blotties entre deux feuilles, lorsque le froid impose de s’économiser.

Par ce livre, l’auteur donne envie de s’imprégner de cette faune discrète accessible au plus grand nombre, de la redécouvrir, d’apprendre à l’observer. Pour mieux la respecter et la protéger. Pour prendre conscience de la fragilité de ce monde ordinaire et de l’empreinte réelle et tangible de nos activités sur la nature.

Guêpiers d’Europe, renards roux, huppes fasciées, engoulevents d’Europe, grands-ducs…. L’espace de vingt-trois mouvements illustrés par ses propres photos, Sylvain Dutrieux nous plonge dans l’intimité de la biodiversité « ordinaire ». Un ouvrage poétique et bienveillant.

La préface a été écrite par Marie-Pierre Puech, présidente de l’association Goupil Connexion, un hôpital de la faune sauvage basé dans l’Hérault.

Sylvain Dutrieux reverse 30% de ses droits d’auteur à Goupil Connexion. 

L’auteur

« Je ne connaissais rien de la faune sauvage française. En trois ans, au gré des rencontres muettes qui m’ont été offertes dans le ventre de la nature, j’ai appris à observer le monde. Non que j’étais auparavant aveugle, mais le monde sauvage m’échappait. Il n’était pour moi qu’un renard qui s’enfuit au détour d’un chemin.

Ce regard de découverte, c’est celui que j’essaie de transmettre dans ce livre. Pas de fiches d’identification. Pas de liste exhaustive de la faune de nos campagnes. En revanche, j’invite à découvrir la nature secrète qui s’éveille en l’absence de l’humain : une famille de renards en plein jeu, un grand-duc en pleine séduction, un grand lièvre qui s’abandonne dans le sable chaud.

Avec l’œil émerveillé et quelque peu naïf de celui qui découvre, je délivre par mes mots ce que la nature m’a enseigné : tout près de chez nous, juste de l’autre côté de la route, mille créatures colorées et fascinantes dansent quand l’humain n’y est pas. »

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    Les Mots qui portents souhaite redonner au livre sa valeur de bien collectif. À ce titre, nous avons réuni des partenaires qui ont rendu la publication de cet ouvrage possible. Qu’ils en soient sincèrement remerciés !

    Comme nous, ils sont attachés à la bibliodiversité et s’engagent ainsi à nos côtés pour la préserver.

     

    Les commentaires de nos lecteurs/lectrices

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    • Merci à Christine F., première lectrice qui nous partage son sentiment : « Très agréable à lire. La narration de l’auteur nous entraîne à ses cotés dans la sérénité de la nature et loin de notre monde tumultueux, avec de merveilleuses photographies issues de patience , de passion, de respect de la nature et de beaux moments de rencontres. Un bien fou pour s’évader l’esprit. Merci et pleine réussite à Sylvain pour ce bel ouvrage  ! ». 27 mai 2024.
    • « Ce livre est une véritable petite perle d’observation de la nature, de poésie, de philosophie de la vie, de sagesse et de sensibilité. Une bouffée d’oxygène, un antidote bienvenu à la frénésie de notre époque matérialiste, superficielle et indivudualiste. Au delà d’une invitation à l’émerveillement, le style de l’auteur est une invitation permanente au voyage, à la réflexion et aux remises en question personnelles. Respect, gratitude, et tous mes vœux de réussite à ce si talentueux jeune auteur-photographe ! » Bruno D. / 27 juin 202.
    • « Ce livre me parle terriblement, tellement je revis des instants passés en affût, en observation et en description des espèces…Sauf que je n’ai pas votre talent des mots pour désigner tant de maux d’humains sur cette faune sauvage.  (…) Ce livre transporte littéralement et les pages se dévorent une à une, sans même se rendre compte du temps qui passe à être proche de ces vies. Lecture plaisante, à la porté de tout le monde et qui sans doute R’Eveillera des consciences. Il est comme une friandise au mélange tantôt acidulé, tantôt gourmand et surtout rempli d’humour à en avoir des crises de fou rire, toute seule chez moi..(« Ah si les étourneaux étaient humains, ils seraient français ! »). Bravo pour ce livre, qui à mon sens est déjà, un grand succès et sera le premier pas pour certaines personnes. Que vive ces vies si proches..dans le Respect.. l’Amour du Vivant.. la découverte.. et la passion face à ce qui nous entoure. La photographie animale, c’est tout sauf une Nature Morte, ça se respecte. » Laura C / 15 juillet 2024.
    • « Ce livre est un vrai régal. L’auteur, de façon à la fois poétique et réaliste, nous révèle les émotions procurées par les heures d’attente en affût, la découverte des différentes espèces, attendues ou non, et la joie pure et intense d’être si proche de la nature tout en la respectant profondément. Un excellent rappel de notre petitesse face aux éléments et à la faune. Une vraie leçon d’humilité, avec en prime de magnifiques photos. A lire absolument. »Missalto / 3 juillet 2024.

    Ce qu’en dit la presse

    • Présentation de Bénédicte Courtens sur le site de la Fédération Wallonne Horticole FWH : « Un magnifique ouvrage publié aux  éditions « Les mots qui portent » vient de sortir de presse : « Des vies si proches ». Retrouverez la présentation de cette ode à la beauté de notre faune sauvage dans la rubrique « Sélections de livres et de revues » de l’agenda Au Fil des Saisons.
    • Série de cinq chroniques sur la radio RMB, cinq capsules sur Des vies si proches et son auteur. C’est à découvrir ici. / 27 mai 2024