Ce roman est pour vous si vous aimez les histoires…
- … en lien avec les problématiques contemporaines.
- … qui nous donnent l’énergie de toujours continuer, relever les défis, franchir les obstacles.
- … savamment orchestrées. Au fil des événements, les personnages s’affrontent en quête de vérité quant aux sujets brûlants qui surgissent entre eux.
- Une écriture qui révèle une sincérité totale, qui éclaire notre rapport à l’autre, à l’humain, au monde.
Mots-clés : massaïs / sagesse massaïe / nature / humanité / écologie / valeurs / simplicité / respect de la nature
Le mot de l’éditrice
Chaque jour, chaque rencontre, chaque discussion le confirment : ne plus laisser les injonctions économiques, sociales et sociétales dicter nos vies. Cette situation ne répond ni aux aspirations personnelles ni à la cause écologique et ne fait plus sens. Cette dépendance oppresse un nombre grandissant de personnes qui sombrent. Jamais la santé mentale de la population – toutes catégories confondues – n’aura été aussi alarmante. Cette histoire m’a touchée car elle aborde toutes ces thématiques avec beaucoup de justesse mais aussi de légèreté et de bienveillance. Le contrepoint choisi – le Kenya – est une carte postale de rêve… en proie aux démons dévastateurs de la mondialisation. Mais les Massais n’ont pas livré leur dernier mot. Nous avons tant à apprendre d’eux. .
Sandra Banière écrit sur des êtres qui portent en eux leurs failles, leurs blessures, mais qui recèlent aussi cette lumière propre aux âmes résilientes. C’est une histoire qui éclaire, apaise et interroge. Une histoire qui fait sens.
L’auteure
Côté cour, Sandra Banière est professeure de lettres. Côté jardin, elle est engagée dans la vie culturelle de sa ville. Elle donne des cours de théâtre et participe à la programmation d’événements favorisant la démocratisation de toute forme de culture. L’académie de Reims, ayant à coeur de valoriser les productions réalisées par les membres de son personnel susceptibles de nourrir les réflexions et les pratiques des acteurs de l’école, lui a consacré une vidéo dans le cadre des CESARS.