Relations avec les auteur·e·s

Si vous pensez que le pilon n’est pas acceptable, que vos droits d’auteurs ne sont pas équitables, que la vie commerciale de votre ouvrage est trop brève, que vos livres, une fois publiés, manquent de visibilité, que le fonds éditorial constitue un patrimoine commun (éditeur/auteur) qu’il faut préserver, que la chaîne du livre doit être revisitée, alors vous êtes vraisemblablement devant la bonne porte. Dans tous les cas, je vous propose d’établir un premier contact. Je vous invite à télécharger le fichier joint, à le remplir et à me le retourner. Je vous ferai savoir quelle suite je peux et je veux donner à votre projet.

Ce que je propose

  • Une conception alternative et assumée de l’édition : un livre est un bien collectif qui rassemble des partenaires, chacun s’impliquant dans le projet selon ses moyens, ses objectifs. Ce modèle économique permet de verser des droits d’auteurs équitables dans le cadre d’un contrat à compte d’édition. « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. »
  • Une relation transparente pour collaborer dans la confiance.
  • Un accompagnement personnalisé dès la première prise de contact et tout au long de la vie de votre livre. À chaque étape – édition, marketing, communication, commercialisation —, je m’investis à vos côtés. Je vous propose des pistes de travail et des idées originales, parfois innovantes, toujours efficientes. Je fais le choix de limiter ma production au bénéfice d’un investissement total et complet renouvelé sur chaque projet.

Ce que j’attends de mes auteur·e·s

Nous accueillons des auteur·e·s engagé·e·s et solidaires. Conscient·e·s des réalités qui nous affectent, ils/elles veulent changer de fonctionnement et sont prêt·e·s à emprunter d’autres voies qui semblent possibles quoique exigeantes.

  • Un investissement au-delà de la remise de leur manuscrit.
  • Un engagement auprès des partenaires et des lecteurs pour porter leur travail.
  • Le partage des valeurs et de la philosophie des Mots qui portent.

Nos auteur.e.s

Dominique Cardon spécialiste des teintures végétales, des couleurs et des textiles. Auteure. Les Mots qui portent

Dominique Cardon

Spécialiste de l’histoire et de l’archéologie du textile et de la teinture

Passionnée de couleurs et de tissus, Dominique Cardon étudie les activités liées aux textiles et aux teintures dans toutes les régions du monde. À la fois historienne et archéologue des étoffes et des sources colorantes naturelles, elle cherche à percer leurs secrets à travers les âges.

Elle a mené de multiples missions archéologiques et ethnologiques en Chine, au Pérou, en Asie centrale, en Égypte, au Groenland, en Nouvelle-Calédonie, à Madagascar et dans de nombreux autres pays. Elle est aujourd’hui une spécialiste des techniques traditionnelles de production textile et de teinture naturelle.

Lauréate de la médaille d’argent du CNRS en 2011, Dominique Cardon est directrice de recherche émérite au CNRS.

Charlotte Jurus, auteure de La Caverne occidentale, Les Mots qui portent

Charlotte Jurus

Une invitation à repenser les modèles

Franco-néerlandaise de 28 ans, Charlotte avait l’habitude de poser ce qui l’étonne sur le papier et a décidé de développer ses idées pendant le premier confinement.
Au-delà de l’écriture, c’est un partage de vision que Charlotte recherchait et elle a trouvé cette communion avec Véronique Thabuis. Le premier roman de Charlotte (à paraître en 2023) traite de l’errance, mais aussi de la détermination d’une jeune génération qui se construit au crépuscule de notre modèle de société, dans les tempêtes sociale et environnementale.

« Depuis notre tout premier contact, je souhaite porter ce projet avec Véronique qui nourrit mes réflexions grâce à sa vision passionnée. Véronique encourage et universalise. »

La Caverne occidentale de Charlotte Jurus aux éditions Les Mots qui portent

Passer à l’action rend heureux ! 

Sandra Baniere - Auteure - Les Mots qui portent

Sandra Banière

Véhiculer plus de compassion et de bienveillance

Son parcours

Sandra Banière se définit comme une amoureuse de la nature et une écrivaine humaniste. Elle aime explorer les sentiments et mettre en lumière des sujets de société qui nous interrogent dans notre rapport à l’autre, afin de véhiculer un peu plus de compassion et de tolérance.

Sandra Banière partage son temps entre son métier de professeure de Lettres modernes et sa passion pour l’écriture. Elle a publié deux romans de littérature générale, Les Noces meurtries (Presses de la Cité, 2017) et Les perdrix s’aiment au point du jour (Lucien Souny, 2021), ainsi qu’un roman pour le jeune public, Pégasus, un double poney hors du commun (Hello, 2022).

Ses choix

« J’ai rencontré Véronique à l’occasion de la publication de mon roman Les Perdrix s’aiment au point du jour. C’était en février 2020, et en dépit de la situation sanitaire que nous avons ensuite tous subie de plein fouet, elle n’a rien lâché de ce qui avait été convenu pour ce roman.

Lorsque j’ai appris la création des Mots qui portent, sans aucune hésitation, j’ai souhaité suivre Véronique dans cette aventure. Pour avoir travaillé avec elle, je sais quel accompagnement elle apportera à mon texte et à mon écriture : un regard passionné, exigeant, profondément respectueux, juste, qui n’aura qu’un seul but : produire un roman de qualité pour les lecteurs.

Ses conseils sont une chance : ils m’ont permis de progresser et de me présenter face aux lecteurs le cœur heureux de leur soumettre une histoire véritablement aboutie.

Pour Les Mots qui portent, j’ai proposé un nouveau projet de roman : un récit de femmes, transgénérationnel, dans lequel les héroïnes sont confrontées à des choix compliqués, intimement liés à leur féminité et à leur liberté. Au fil des décennies, certains sujets demeurent et ce n’est pas parce qu’une femme bénéficie de l’avancée des lois que les décisions sont plus simples à prendre et à assumer. »

Rien n'est terminé, le nouveau roman de Sandra Banière aux éditions Les Mots qui portent

Laurent Mely-Dumortier auteur de Déraillements en série, Les Mots qui portent 2023

Laurent Mely-Dumortier

Un polar d'inspiration professionnelle qui donne à voir le quotidien des cheminots

Son inspiration

« Je suis amateur de polars, pour le suspens et par goût de l’énigme bien sûr. J’aime surtout ceux qui font découvrir d’autres cultures, d’autres périodes historiques ou d’autres pans de la société.

Le réel est aussi pour moi une grande source d’inspiration. D’où ce projet avec Les Mots qui portent : une histoire centrée sur mon univers professionnel, la SNCF. Je souhaite que ce roman donne à voir le quotidien des cheminots. Les lieux de l’intrigue s’inspirent directement de la banlieue sud de Paris où je réside et où je travaille. Je cherche aussi à construire des personnages vivants, des interactions riches qui les rendent crédibles, humains avec leurs forces et leurs failles. »

Ses choix

« Je suis heureux d’être de cette aventure – la création d’une maison d’édition – à une période où trop de maisons indépendantes ferment. J’apprécie le projet qui sous-tend Les Mots qui portent :  une coopération accrue entre les différents acteurs d’un projet livresque et une grande attention aux impacts sociaux et environnementaux d’un livre.

J’ai aussi beaucoup apprécié de travailler avec Véronique Thabuis. Son regard d’éditrice expérimentée a été un vrai atout pour faire aboutir mon polar à paraître. »

Déraillements en série, un polar de Laurent Mely-Dumortier, Editions Les Mots qui portent

Sylvain Dutrieux Auteur LesMotsQuiPortent

Sylvain Dutrieux

Nous ne sommes pas seuls à habiter ce monde.

Son état d’esprit

« Lorsqu’ils sont habilement maniés, les mots sont omnipotents. Ils peuvent faire rire les éprouvés et pleurer les gens heureux. Ils peuvent convaincre les indécis et faire douter les convaincus. Ils peuvent rendre l’émerveillement aux âmes désenchantées. Comme tout objet ou concept aux aptitudes absolues, les mots peuvent aussi devenir des armes : les mots comme armes contre l’inculture ou la naïveté, mais aussi, malheureusement, les mots comme armes contre la liberté, contre la solidarité, contre les droits fondamentaux.

La responsabilité d’une maison d’édition est donc considérable. Si le livre est un message, l’éditeur en est le messager. Qui donc confierait un message de conviction à un messager qui n’en a pas ?

Un auteur et un livre, c’est une mère et son enfant. Une mère ne confie pas son enfant à n’importe qui. Je ne voulais pas confier mon livre sans avoir la conviction qu’il serait entre de bonnes mains. Et voici qu’une nouvelle maison d’édition naissait, bâtie sur des valeurs identiques aux miennes : droite dans ses bottes, de réelles convictions (et non pas du marketing greenwashé) et un désir de changer les mentalités. Les Mots qui portent le regard vers d’autres considérations : plutôt que de regarder ses écrans, regardons nos plantes et tout ce qu’elles ont à nous donner. Du bonheur, d’abord, mais aussi des odeurs, des substances médicinales, des teintures végétales, et tant d’autres choses encore. Avec un peu plus de discrétion et parfois une paire de jumelles, observons nos bêtes : celles qui vivent quand l’humain est absent, celles qui meurent à cause de nous, écrasées sur nos routes, électrocutées par nos lignes haute-tension, massacrées par nos feux d’artifice. Donnons-leur simplement un peu de considération, parce que considérer quelque-chose, c’est déjà le protéger un peu. »

Son parcours

« Modestement, j’ai décidé de prendre la plume pour témoigner. Il y a trois ans, j’ai commencé la photographie animalière. Je suis parti de loin: je ne connaissais rien de la faune sauvage française. En trois ans, au gré des rencontres muettes qui m’ont été offertes dans le ventre de la nature, j’ai appris à observer le monde. Non que j’étais auparavant aveugle, mais le monde sauvage m’échappait. Il n’était pour moi qu’un renard qui s’enfuit au détour d’un chemin. 

Ce regard de découverte, c’est celui que j’essaie de transmettre dans mon livre à venir. Vous n’y trouverez pas de fiches d’identification. Vous n’y trouverez pas de liste exhaustive de la faune de nos campagnes. En revanche, vous découvrirez avec moi l’émotion d’une rencontre lorsque, à deux pas de chez vous, vous observez la vie intime des animaux. Lorsque, bien camouflé dans un buisson, vous observez une famille de renards jouer dans un champ. Lorsque, au détour d’un chemin, un rouge-gorge vous harcèle. 

Avec l’œil émerveillé et quelque peu naïf de celui qui découvre, je délivre par mes mots ce que la nature m’a enseigné : tout près de chez nous, juste de l’autre côté de la route, mille créatures colorées et fascinantes dansent quand l’humain n’y est pas. 

Mes mots, ce sont des mots qui portent vers une autre réalité, voisine et trop souvent ignorée. Mes mots portent vers une autre grandeur : nous ne sommes pas seuls à habiter ce monde. »

Thomas Vandenbergue, photographe-reporter. Les Mots qui portent

Thomas Vandenbergue

Photographe-reporter, des activités au profit des autres et de la nature

Son parcours

Thomas Vandenbergue est né en 1994, dans l’Aube, et passe son enfance en Dordogne. À l’âge de 19 ans, il commence une formation de photographe-reporter et se passionne petit à petit pour l’être humain, ses activités mises au profit des autres et de la nature. Ses premiers travaux sont réalisés autour des métiers de l’artisanat, puis des différentes cultures qu’il a pu découvrir lors de ses voyages. Enfin, il s’est intéressé au premier secteur fondamental d’une société, vital pour chacun d’entre nous : l’agriculture, biologique pour l’avenir. En 2017, il créait PhotoDécouverte, pour l’image de l’Homme et partait vivre à Paris le 10 août 2022.

Son choix

« Les Mots qui portent est pour moi un exemple de ce que devrait être chaque maison d’édition. Lorsque Véronique me dit : « Si on imprime 2 000 livres, on en vend 2 000 et on ne jette rien », je retrouve enfin ce bon sens oublié depuis trop d’années, caché derrière le mot rentabilité ou profit. Cette maison d’édition remet les valeurs humaines au cœur de ses démarches, respecte les matériaux et les ressources naturels. L’époque du gaspillage ou de la surconsommation est révolue, trop dévastatrice. J’ai choisi de travailler avec Les Mots qui portent pour continuer d’avancer vers une nouvelle ère : celle de la résilience, humaine et écoresponsable. »

 

La bio : à la croisée d'enjeux fondamentaux

La bio : à la croisée d’enjeux fondamentaux

Thierry Thevenin. Pour l'amour de la nature et des plantes sauvages

Thierry Thévenin

Pour l'amour de la nature et le respect du vivant

Son parcours

Thierry Thévenin est une référence dans le monde de l’herboristerie et l’avocat de la cause des paysans-herboristes. Producteur de plantes médicinales, il est également auteur, conférencier, enseignant et le porte-parole du Syndicat S.I.M.P.L.E.S.

Il a cofondé Vieilles Racines et Jeunes Pousses, une association dédiée à la transmission des connaissances, des savoirs et des savoir-faire autour des plantes. Elle propose des ateliers pratiques – herboristerie, fabrication d’élixirs et de remèdes, de teintures végétales, de jouets végétaux, dessin, botanique, vannerie, etc. Parallèlement, elle publie une collection d’ouvrages d’ethnobotanique appliquée. Un modèle de ferme-école unique en France.

Son choix

« J’ai choisi de faire des livres avec Véronique Thabuis, car c’est une amie ; mon amie, car c’est une personne qui fait comme rarement résonner cœur avec courage, qui respecte de toutes ses forces les paroles et les mots.

Elle a édité mon premier livre, il y a déjà 15 ans, lorsqu’elle travaillait aux éditions Souny, je sais son engagement, sa constance. Je souhaite une vie heureuse et fertile aux éditions Les Mots qui portent. »

Précédentes publications

Les plantes dites invasives sont les boucs émissaires de tous nos dysfonctionnements. Elles doivent pourtant être considérées avec égard car elles ont des choses à nous dire et d'autres à nous apporter. Les Plantes du chaos, le livre de THIERRY THEVENIN, une préface de Pablo Servigne.

Reprendre en main sa santé grâce aux plantes prévenir et traiter les infections, renforcer les défenses immunitaires

La Randonnée ultra légère Un guide pratique de Jean Romnicianu

Jean Romnicianu

Pour que la randonnée soit une aventure grandeur nature

Son parcours

Jean Romnicianu a commencé à randonner à 15 ans. Après ses études, il part à travers le monde en routard. Il s’arrête au Népal où il restera 12 ans. Il y fera 17 mois cumulés de trek en haute altitude. Ses occupations professionnelles l’enverront dans différents pays mais le goût de la marche ne le quittera plus. Il fête sa retraite en 2016 en parcourant le Pacific Crest Trail (4 000 km du Mexique au Canada). Il découvre alors la marche ultra-légère qu’il adopte définitivement. Viennent ensuite le Continental Divide Trail aux USA (4 200 km) et d’autres sentiers de randonnée en France et à travers l’Europe.

Son choix

Véronique Thabuis est une éditrice qui sait écouter les auteurs et qui possède à un haut degré l’art de mettre en valeur les textes proposés. Ses livres sont le résultat d’échanges francs et soutenus aussi bien sur le fond que sur le forme qui débouchent presque toujours sur un consensus. Son attachement à des ouvrages de qualité, qui mérite d’être souligné, permet la sortie de livres attrayants dotés d’un fort potentiel. Son respect des auteurs et sa volonté de promouvoir une nouvelle économie du livre méritent le respect.

Précédentes publications

  • Pacific Crest Trail : carnet de marche du Mexique au Canada (2020), éditions Jacques Flament
  • Continental Divide Trail : 4.200Km à pied, carnet de marche et préparation (2019), éditions Jacques Flament

La Randonnée ultra légère Guide pratique pour profiter au mieux de ses journées de marche

Frank Klarczyk, auteur de polar, policier dans la vraie vie au sein de Police-secours à Brive-la-Gaillarde

Frank Klarczyk

Ecrire sur le fil du rasoir, où tout, à tout moment, peut basculer... comme dans la vie.

Son parcours

Cinéphile depuis toujours, l’écriture d’un scénario fut son premier manuscrit. Destiné à être professeur, il est devenu policier. Erreur de casting ?…

Frank a appris à aimer son travail. Voilà plus de trente ans qu’il exerce en police-secours, dans la rue, au plus près de la population et, le plus souvent, au contact de ses travers les plus sombres. Finalement, c’est surtout l’assistance aux personnes qui l’a maintenu sur cette voie professionnelle, mais pas que… Il y a aussi l’adrénaline générée par certaines interventions, mais également l’inattendu qui fait le quotidien des policiers. Tout ça, Frank l’utilise dans ses histoires mêlant suspens, frissons et réalisme. Tout ça, il le partage volontiers avec le lecteur.

Frank Klarczyk a d’abord signé Sanglante vérité, puis Les crocs de la Corrèze (La Geste). Mort-Point final a été publié en 2017 (Lucien Souny). Il a participé au recueil L’enfance, c’est… (Livre de Poche) en faveur de l’association Le rire médecin ainsi qu’au recueil 22, Vlà les flics (Lajouanie) en faveur des Orphelins de la police avec une nouvelle intitulée V.I.F.

Ses choix

« J’avais apprécié de travailler avec Véronique sur Mort-Point final et j’avais apprécié la personne. Et voilà que cette amoureuse des mots se laisse porter par eux en ouvrant sa propre maison. Les Mots qui portent, une maison d’édition aux nobles valeurs. Une maison que je remercie de m’accueillir avec Flots noirs et dans laquelle je suis heureux d’entrer afin d’en partager l’aventure humaine. »

© Richard Poyeau

 

Elise Bain, ethnobotaniste et utilisatrice éclairée des plantes médicinales

Élise Bain

Pour une culture populaire des plantes

Son parcours

La connaissance des plantes est un bien commun. Elle est le fruit de ces longs siècles de relation étroite entre les humains et leur environnement végétal et de leur expérience affûtée des usages médicinaux. Élise Bain travaille depuis 2005 pour le musée de Salagon dans le domaine de l’ethnobotanique, et anime des sorties et des stages sur les plantes médicinales et comestibles pour l’association Alchémille et compagnie. Elle tient une part de son savoir de sa famille anciennement productrice de plantes médicinales, mais aussi des nombreuses personnes âgées interrogées au cours de ses enquêtes ethnobotaniques dans les Alpes et dans les Vosges. Cet héritage nourrit un recours quotidien aux végétaux, qu’elle souhaite appropriable par le plus grand nombre.

Ses choix

« J’ai rencontré Véronique Thabuis par l’intermédiaire de Thierry Thévenin. J’ai tout de suite été touchée par le courage et la sincérité des valeurs qu’elle défend dans Les Mots qui portent. C’est une éditrice qui travaille de manière acharnée au bon accompagnement des auteurs, dans leur processus d’écriture jusqu’à l’aboutissement du livre, dans la franchise et leur respect. J’ai beaucoup appris à ses côtés. Le monde de l’édition a besoin de personne comme Véronique. »

Précédentes publications

 

Reprendre en main sa santé grâce aux plantes prévenir et traiter les infections, renforcer les défenses immunitaires

Laurent Fayeulle est l'auteur d'une éco fiction LES JEUX DE PARIS N'AURONT PAS LIEU publiée aux éditons Les Mots qui portent

Laurent Fayeulle

Écrire, avec humour et légèreté, sur les errances d’un monde où tout va trop vite.

Son parcours

Laurent Fayeulle vit dans le Pas-de-Calais, à proximité du marais audomarois. Sa formation en lettres modernes l’a conduit à exercer en tant que bibliothécaire, documentaliste, mais aussi rédacteur dans les coulisses du monde économique et politique au nord de Paris.

Fidèle compagnon de route de la militance écologique, il se tourne naturellement vers l’écriture pour défendre ses valeurs, mobiliser les lecteurs et les inciter à passer à l’action. Dans ses romans, il raconte avec légèreté le mouvement écologique et social, parle des mutations d’un monde où tout va trop vite et scénarise l’inexorable effondrement. Il n’en oublie pas pour autant ses thématiques fétiches que sont le métissage, le sport, les voyages, la culture populaire, le féminisme, la lutte contre toutes les formes de domination, entre autres.

Son inspiration

« J’avais envie de mettre en scène un scénario crédible d’effondrement à court terme, qui tienne à la fois du thriller écolo (dans sa dimension romanesque) et de la mise en récit d’un exercice de simulation de crise généralisée (par sa documentation). Je souhaitais également trouver une structure narrative originale et une langue puissante pour soutenir cette intrigue. Enfin, je tenais à ce que ce roman tienne ses promesses de page-turner, qu’il soit équilibré entre légèreté et gravité, et qu’il bouscule autant qu’il mobilise. »

Ses choix

« « Quelle chance d’avoir croisé la route d’une telle éditrice ». Je ne saurais compter le nombre de fois où j’ai pu entendre cette phrase. J’explique la démarche de Véronique Thabuis, et c’est toujours la même réaction : je vois briller, dans les yeux de la personne avec qui je parle, la petite étincelle qui signifie « voilà quelqu’un qui a compris ». Oui, c’est vrai : je suis chanceux d’intégrer cette maison d’édition écoresponsable. J’apprécie la façon de travailler de Véronique, sa capacité à allier simplicité et exigence, son goût pour l’innovation sociale, sa totale compréhension des enjeux écologiques. Il m’est agréable également de constater, à présent que nous nous connaissons un peu mieux elle et moi, à quel point nos chemins respectifs – chemins de vie et chemins de livres – étaient naturellement faits pour se rejoindre. »